L'ASN avait annoncé que la sûreté des centrales
était suffisante, mais qu'il était nécessaire d'augmenter
la "robustesse" des installations, en cas de catastrophe
majeure (séismes, inondations, ou phénomènes extrêmes).
L'ASN préconise un "noyau dur" c'est à dire un centre de commandement et de communication
"bunkerisé", ainsi qu'un groupe électrogène et une alimentation en eau "d'ultime secours", ce qui représentait
un investissement de milliards d'euros.
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