C'est la conclusion à laquelle sont parvenus des chercheurs de l'unversité de Stanford (USA).
L'agriculture intensive consomme en effet beaucoup de CO2, de par le développement rapide des plantes, avec une densité élevée au M2.
Même en tenant compte des engrais utuilisés, très gros producteurs de GES (Gaz à Effet de Serre), l'agriculture intensive a un bilan "vert" positif.
Une évaluation montre qu'entre 1961 et 2005, cette agriculture aurait permis d'éviter d'émettre 161 milliards de tonnes de C02 dans l'atmosphère.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire