centrale de Nogent sur Seine |
après s'être introduits dans la centrale nucléaire de
Nogent-sur-Seine dans l'Aube.
Greenpeace a précisé que l'organisation souhaitait mettre
en lumière des failles dans la sécurité des installations
nucléaires en France :
"faire passer le message que le nucléaire sûr n'existe
pas"
et l'obliger à faire fouiller l'ensemble des installations
nucléaires.
Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant a reconnu lundi sur France TV :
"Il est clair que cela révèle des défaillances dans notre dispositif" de sécurité après cette intrusion.
"Il n'est pas normal que des personnes puissent entrer sur un site hautement sécurisé comme l'est une centrale nucléaire, même si les experts font remarquer à juste titre que ce n'est pas pareil qu'un cas réel où les réactions des forces de l'ordre ne seraient pas de la même nature que celles qu'elles ont adoptées ce matin" a ajouté M. Guéant.
"Il faut revoir l'approche globale de la sécurité des centrales. La politique actuelle ne prend en compte
ni le risque terroriste ni le risque d'une chute d'avion ou d'une explosion chimique ou d'un acte de malveillance"
a plaidé Sophia Majnoni, chargée des questions nucléaires pour GreenPeace France, qui dénonce sur BFMTV.com, l'audit de sécurité commandé par le gouvernement.
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