Et si nos villes éteignaient la lumière, économie, écologie :
Toulouse(31), Drancy (93), Fosses(95) ...
Elles sont de plus en plus nombreuses à revoir leur éclairage public.
Toulouse, la ville rose, est une pionnière dans ce domaine, elle vient de lancer une
nouvelle conception "d'éclairage sur mesure".
Les spots lumineux ont été disposés sur certains axes pour des raisons de sécurité.
Toulouse engloutit 40 milions de kilowatt heures, rien que pour l'éclairage public.
Pour réduire la consommation électrique de 50 %, les lampadaires réagissent au passage
des piétons. On passe devant le champ de détection du radar, il y a détection de mouvement
adapté à l'éclairage public.
Les spots sont installés dans le sol sans aucun réseau, pas de travaux de génie civil et peuvent s'orienter pour éclairer jusqu'à 5 mètres.
Les spots solaires sont équipés de panneaux photovoltaïques afin d'alimenter une lampe
fluocompacte et garantir l'autonomie,
d'un régulateur qui protège la batterie et garantit la longévité du système.
du soleil en électricité .
Certains sont alimentés par des panneaux solaires d'autres par des éoliennes.
C'est un capteur qui déclenche l'intensité lumineuse afin de gérer les périodes d'allumage.
Cet hiver, Toulouse révèlera sa botte secrète : le trottoir électrique, vous marchez
sur des dalles électriques qui traduisent les mouvements de ses pas en électricité.
Vous êtes acteur de votre production d'énergie et de la production d'énergie qui sert
d'éclairage public. A terme Toulouse envisage de réduire de moitié sa consommation d'éclairage public et devenir une ville durable.
(Ushuaïa La Terre et Nous)
Egalement une expérience en Seine Saint-Denis :
A l'initiative de son maire, J.C Lagarde, Drancy démarre un programme
d'économie d'énergie basé sur l'éclairage solaire.
Une première implantation réussie de 5 "Frisbi" sur le square de l'avenue de
Castelneau, des lampadaires solaires avec des détecteurs de présence.
(MCT solaire)
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