
Ce nouveau modèle informatique tend à montrer que ce changement au niveau botanique permettrait de diminuer la température de 0,3°C dans le monde. "Mais ces résultats ne font que freiner le réchauffement climatique" affirme Lahouari Bounoua, principal auteur de l'étude.
Ce nouvel élément permet tout de même de préciser les résultats des recherches sur le réchauffement climatique.
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